Alban JAMESSE

Alban JAMESSE
Responsable E-commerce

#ecommerce, #internet &Co

   

Tombé dans le commerce tout petit, puis dans l'internet un peu plus grand;
Je fais du e-commerce activement depuis… trop longtemps.

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Ecommercemag c’est fini pour moi

Ecommercemag c’est fini pour moi

Je suis abonné depuis des années à ecommerce magazine (et Markeing Direct et Marketing magazine avant ça), mais cette année c’est fini, je ne me réabonnerais plus.

Je ne me réabonnerais plus pour plusieurs raisons :

Sur les deux dernières années, j’ai rencontré plusieurs problèmes de livraison.
À deux reprise au moins je n’ai pas reçu mon numéro.
Et comme on ne connait pas bien la date d’expédition, on ne sait pas trop quand se plaindre.
Il faut leur laisser que quand on les contacte, les personnes sont aimables et le traitement rapide.

Parlons plus précieusement de la date d’expédition.
À plusieurs reprises ces dernières années, j’ai pu me procurer sur des salons ou événements (offerts, l’abonné paye lui), comme le Salon du ecommerce, le dernier numéro de ecommerce magazine des semaines avant de le recevoir à domicile.

C’est un problème global de la presse, aujourd’hui on est tous sur Twitter, les infos on les a en direct, problème d’autant plus épineux pour un magazine bimestriel.

Attendre la parution papier pour savoir qu’Amazon va proposer le paiement en 4 fois en collaboration avec Cofidis, c’est risquer de se faire spoiler l’affaire une paire de fois, voir même d’avoir le temps de l’oublier, avant de recevoir le magazine.

J’attends d’un magazine professionnel des articles concis pour une compréhension la plus rapide possible (ce que je retrouvais dans Marketing Direct à l’époque).
Mais j’ai l’impression, qu’aujourd’hui ils tentent de vendre du papier.
Il reste cependant pas mal de petit articles, mais remplis de buzzword. Une fois l’article lu, vous l’avez déjà oublié.
Je l’avoue dans les derniers numéros, je n’ai lu et retenu que les brèves : Des infos en une phrase.

Sur leur site internet c’est pareil.
Des articles à rallonges, où l’on pèse le pour (apprendre/découvrir quelques chose) et le contre (passer 10 minutes) avant de se lancer dans la lecture.

Exemple l’article « Le packaging des produits frais, grand oublié de l’expérience client » 754 mots résumable en 28.

En ecommerce, le packaging est une pièce maîtresse de l’expérience client.
Dans le domaine des produits frais c’est un point à travailler pour faire la différence.

(28 mots, 138 caractères, ça aurait tenu sur l’ancienne version de Twitter. Et j’aurais pu faire encore plus court.)

Je n’ai pas vendu de papier, mais j’ai fait gagné du temps à des milliers de personnes qui bossent dans le ecommerce.
Si je paye c’est pour gagner du temps.

Melvyn me dit que les articles à rallonge c’est pour le référencement.
Ici on parle d’infos, et je trouve qu’il n’y a rien de plus énervant quand on fait une recherche sur Google, que de tomber sur des articles d’il y a 7 ou 8 ans.
Si c’est la vraie raison de la taille de ces articles c’est encore moins recevable.